Les forces d'occupation israéliennes empêchent les Palestiniens déplacés d'accéder à leurs habitations dans le camp de réfugiés de Nour Shams, situé à Tulkarem, dans le nord de la Cisjordanie occupée.
Ces mesures interviennent avant une campagne de démolition planifiée par les autorités d'occupation, visant des dizaines d'habitations du camp.
Les résidents déplacés tentaient de récupérer certains de leurs biens avant les démolitions.
© Getty Images
Destruction dans la bande de Gaza.
Le CICR a alerté sur l'effondrement imminent des opérations humanitaires à Gaza, dû à un blocus israélien de deux mois bloquant toute aide. Sans reprise immédiate des secours, le CICR manque de vivres, médicaments et produits essentiels. Cette crise menace gravement les programmes
Des caméras de surveillance ont filmé le moment où des colons israéliens ont volé 70 têtes de moutons dans la Vallée du Jourdain, en Cisjordanie. Les images sont là, mais il n'y aura aucune sanction, aucun dédommagement.
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Voici, comment tous les matins, tout le monde, hommes, femmes et enfants, se précipite pour obtenir de l'eau après que l'armée israélienne a détruit les puits et les usines de dessalement qui fournissaient de l'eau utilisable aux civils.
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« J'aimerais pouvoir à nouveau me peigner les cheveux et prier debout. »Voici le rêve simple de Rahaf Ayad, une jeune fille de 12 ans du quartier de Shuja'iyya à Gaza. Elle souffre de malnutrition sévère et de maladies inconnues causées par le génocide en cours à Gaza.
Sa santé se détériore de jour en jour et sa famille implore le monde de la laisser voyager
Quatorze ans après sa première visite et le film « Les Ultra-sionistes » (2011), Louis Theroux rencontre une partie de la communauté croissante de nationalistes religieux israéliens installés en Cisjordanie.
Un soldat tente d'empêcher Louis Theroux d'avancer pendant son reportage (capture d'écran).
Louis Theroux passe du temps avec cette communauté croissante de colons nationalistes religieux israéliens.
Brigitte Challande, 1er mai 2025.- Le 29 avril, Abu Amir envoie un texte poignant sur l'histoire de ce village agricole, Khuza'a, qui bénéficie du soutien de l'UJFP dans le camp d'Al-Amal.
« Dans un coin tranquille du sud de la Palestine, il y avait un village qui rêvait de paix et semait la bonté : Khuza'a. Un petit village par sa taille, mais grand par sa générosité et son dévouement, bercé par une terre fertile et respirant le parfum des oliviers et du blé.
Brigitte Challande, 30 avril 2025. Écrire, écrire écrire encore et toujours, c'est ce que fait Abu Amir pour alerter : le 28 avril, Gaza entre l'illusion d'une trêve et l'enfer de la guerre, faim, mort et résilience sur les cendres.
« À Gaza, où le sang a pris la couleur du quotidien et où la tristesse a un goût permanent, l'enclave entre aujourd'hui dans son quarante-deuxième jour sous un feu acharné qui ne distingue ni maison ni mosquée, ni vieillard ni nourrisson.
ActiveStills, 29 avril 2025. Les forces coloniales israéliennes démolissent cinq maisons dans le village d'Idhna, à l'ouest d'Hébron en Cisjordanie, sous prétexte de construction sans permis dans la zone C et de la proximité des maisons avec le mur de séparation.
Najwa Aghrib, la mère des deux frères, Khalil et l'Aïd al-Jiyawi, dont les maisons ont été démolies, a pleuré
Par Ahmed Helou
Palestinians walking past destroyed homes in Khan Younis city in southern Gaza [Crédit photo Mohammed Salem/Reuters]
J'ai perdu 160 membres de ma famille élargie à Gaza, mais je n'ai pas perdu espoir.
À quinze ans, j'ai rejoint le Hamas, j'ai jeté des pierres, j'ai cousu des drapeaux palestiniens et j'ai passé sept mois en prison. Voici ce qui a changé mon point de vue sur les Israéliens et qui me motive à construire des ponts au-dessus des rivières de sang.
Des incendies, attisés par des vents violents, continuaient de faire rage jeudi matin dans la région de Jérusalem, où des milliers de personnes ont du être évacuées au milieu de zones entières dévastées par le feu. On ne signale heureusement pas de décès.
Emblématique de la catastrophe, le « Parc Canada », un espace de 700 hectares entièrement détruit par le feu, selon la protection civile israélienne.
Par EuroMed Monitor
L'escalade brutale des attaques israéliennes contre les civils dans la bande de Gaza est profondément alarmante. Des familles entières, avec des femmes et des enfants, sont tuées à un rythme effroyable, alors que la communauté internationale ne parvient pas à mettre un terme à ce génocide qui dure depuis près de 19 mois.
Alors que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a nié devant les médias qu'Israël visait des civils, les avions militaires ont continué à effectuer des frappes aériennes qui ont délibérément tué des femmes et des enfants dans la bande de Gaza.
Dans une démonstration de manque de respect pour le caractère sacré du lieu saint, des colons juifs israéliens chantent et dansent de manière provocatrice à la Porte de la Chaîne, l'une des portes principales de la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem occupée, le troisième site saint pour les musulmans du monde entier.
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Israël continue de bloquer l'entrée de l'aide humanitaire à Gaza, alors que la famine et la famine se propagent. L'UNRWA a déclaré avoir près de 3 000 camions d'aide vitale en attente aux points de passage.
Le Programme alimentaire mondial (PAM) rapporte que plus de 116 000 tonnes d'aide alimentaire - suffisamment pour nourrir un million de personnes pendant quatre moi
Terrible. Un enfant, pieds nus, court après un camion-citerne vide dans le sud de Gaza, à la recherche d'une seule goutte pour étancher sa soif.
MERCI NETANYAHOU ! MERCI TRUMP ! MERCI MACRON !
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Par Haneen Alisawi
Palestinians flee Khan Younis after an evacuation order was issued by the Israeli military on July 27, 2024. (Photo: Abdullah Abu Al-Khair/APA Images)
Une image tombe du ciel
« Évacuer ».
Ils me disent d'évacuer ma maison, ma terre.
Comme si ma maison avait des jambes ;
Comme l'olivier, profondément enraciné depuis des décennies,
Lève-toi et suis ;
La mère du détenu palestinien Islam Al-Qaran du camp de réfugiés de Jénine, en Cisjordanie occupée, raconte le moment où les forces d'occupation israéliennes ont pris d'assaut leur maison dans le camp, battant ses enfants et arrêtant Islam.
(Vidéo sous-titrée par Nj pour Europalestine)
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Walid Khalid Abdullah Ahmad, âgé de 17 ans, est le premier enfant connu à avoir été tué dans une prison israélienne.
Source : Sharon Zhang, Truthout
Traduit par les lecteurs du site Les-Crises
Le premier enfant palestinien connu à être tué dans une prison israélienne, Walid Khalid Abdullah Ahmad, a été affamé, il souffrait de maladies non traitées et a été battu à plusieurs reprises par les gardiens avant de mourir le mois dernier, selon le rapport d'autopsie.
Par TRT, le 28 avril 2025
Les habitants de Gaza ont encore été perturbés cette nuit par des raids de l'armée israélienne qui, d'après des médecins sur place, ont tué 17 Palestiniens lors d'attaques avant l'aube, un jour après qu'au moins 53 Palestiniens ont perdu la vie dans l'enclave.
Ces pertes vont de pair avec les craintes grandissantes de famine alors que le blocus total imposé par Israël sur toute aide alimentaire et humanitaire à Gaza entre dans sa huitième semaine.
La Défense civile palestinienne à Gaza rapporte de nombreuses victimes parmi les civils à la suite d'un bombardement israélien qui a visé les tentes des personnes déplacées à Al-Mawasi, à l'ouest de Khan Younès.
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